Un long débat s’est installé dans l’Institution ces dernières années concernant les séjours à l’étranger que nous imposons — avec une fermeté toute relative — avant toute nomination à un poste permanent (premier assistant, chercheur qualifié et, a fortiori, chargé de cours) et une clarification s’impose.
Certes, il s’agit là d’un beau cas de discussion au sein du Collège rectoral, mais je désire dès à présent faire part de mon avis sur le sujet.

Tout d’abord, je ne parle ici que de séjours de longue durée : 6 mois au moins, mais de préférence un an, d’un seul tenant, et non d’une accumulation de petits séjours ou visites étalés dans le temps. Je ne parle que de séjours consacrés majoritairement à une activité de recherche, conduisant à une ou des publications, que l’intéressé(e) a rédigé seul(e) ou en collaboration, attestant de son activité scientifique (au sens large).

Pourquoi de tels séjours ? Parce qu’ils sont l’occasion d’une réelle sortie de son milieu professionnel et d’une adaptation à un autre environnement et une autre culture, dans bien des cas. Une université qui se veut internationale ne peut faire moins que de s’assurer que ses enseignants et ses membres permanents aient fait l’expérience d’un dépaysement professionnel important. En effet, comment demander de manière crédible aux étudiants d’aller étudier ailleurs (on me pardonnera de ne pas encore redire pourquoi c’est souhaitable !) si on n’a, soi-même, fait l’expérience d’un séjour dans un autre pays ?
Et, bien sûr, s’il est souhaitable d’avoir fait la preuve de sa capacité de collaborer avec des collègues étrangers, d’avoir même, si possible, un renom international, de s’être intégré dans un réseau international de recherche, cela n’enlève rien à l’intérêt d’avoir vécu et significativement travaillé ailleurs.

Je pense donc qu’il est bon que le critère ’séjour à l’étranger’ ait une bonne place parmi ceux qui sont pris en compte pour une nomination à titre définitif à l’ULg.

Il est clair que cette exigence peut, dans certains cas, ne pas être rencontrée, à condition qu’une argumentation sérieuse justifie cette carence et que de telles exceptions soient et restent rares et ne risquent donc pas de devenir la règle.

Le mauvais argument est de dire qu’on n’a jamais été prévenu de cette exigence. Il y a suffisamment longtemps que le Conseil d’Administration a annoncé cette règle. Malheureusement, il ne l’a pas toujours appliquée avec la même rigueur.

Je souhaite qu’elle soit dorénavant clairement réaffirmée et que chaque chercheur débutant à l’ULg en soit averti et ne puisse ultérieurement arguer du fait qu’il ignorait cette obligation.

Pour être complet, il faut préciser que le Conseil a également établi que, si des exceptions pouvaient être retenues et des nominations comme chargé de cours acceptées malgré l’absence d’un séjour à l’étranger, cette déficience serait prise en considération dans les éventuelles demandes de promotion. Là aussi, il convient d’être ferme mais pas inébranlable. Toutefois, une argumentation convaincante est alors nécessaire pour justifier des mérites d’une promotion dans ces conditions.

On comprendra donc que l’intention n’est pas d’être ‘intégriste’ mais de faire en sorte que la très grande majorité de nos collègues soient à l’avenir forts d’une expérience solide de travail à l’étranger.

J’avais promis un retour en force de l’Ulg sur la scène culturelle liégeoise. J’ai le plaisir d’en voir la concrétisation dès cette semaine dans le cadre des Grandes Conférences Liégeoises, une organisation dans laquelle j’ai inscrit notre Institution depuis quelques mois, aux côtés de la Ville de Liège.

Les Grandes Conférences ont l’ambition de recevoir à Liège des orateurs prestigieux et de compléter ainsi un rôle assuré par le Grand Liège et par l’Emulation, sans toutefois entrer en compétition avec ceux-ci, le pari étant qu’il y a place, à Liège, pour une vie culturelle plus large que celle qui s’y déroule aujourd’hui et qui est bien fournie, mais insuffisante sur le plan des conférences pour un public large, dans une ville universitaire comme la nôtre.

Nous aurons 5 conférences dans ce cycle cette année, assurées respectivement par Pierre Harmel, André Comte-Sponville, Jacques Vergès, Axel Kahn et Jean-Claude Guillebaud, personnages prestigieux, controversés parfois et souvent provocateurs, dont la contribution ne peut être que stimulante pour la réflexion de chacun.

Quel plus beau lieu, et plus adéquat, que la Salle Académique de l’Université pour tenir ces Grandes Conférences ?

Pierre Harmel, ancien premier ministre (1965) et ministre belge des Affaires étrangères pendant 8 ans, un homme qui a profondément et durablement marqué la vie publique belge et internationale, est professeur ordinaire émérite de l’Université de Liège. Comment choisir un meilleur orateur pour inaugurer cette série ?

Souvenons-nous de son intervention dans le réglement de la question scolaire qui déchira notre pays il y a près de 50 ans.
Souvenons-nous qu’il a représenté la Belgique au plus haut niveau des relations internationales dans l’époque troublée des années 60, lors de la construction du mur de Berlin et de la la confrontation USA-URSS à Cuba.
Souvenons-nous du rôle qu’il a joué dans la politique de l’OTAN et dans la détente effective entre ce que l’on appelait alors les 2 blocs.
En 1967, ce que l’on avait appelé le “rapport Harmel” qui deviendra très vite une “Doctrine Harmel” contribuera considérablement à réduire les tentions entre l’Est et l’Ouest : la fermeté dans le dialogue, la détente sous haute sécurité, des principes devenus aujourd’hui très répandus.

A plus de 90 ans, Pierre Harmel reste d’une lucidité étonnante dans son analyse de la vie politique et de l’évolution de la société et de l’Europe. Avec un titre particulièrement visionnaire pour un homme de son âge, « Certitudes, probabilités et surtout espérances pour 2030 », le professeur émérite de l’ULg nous livrera son témoignage et son message lors d’un événement unique à ne pas manquer.

J’espère vous voir nombreux le 20 octobre prochain à 20h30 dans la Salle Académique de l’ULg pour la première des Grandes conférences Liégeoises et y partager le verre de l’amitié, offert par l’ULg.

www.grandesconferencesliegeoises.be

Comme vous le savez, au cours de l’année académique écoulée, HEC s’est intégré à l’ULg pour former la grande Ecole de Gestion de Liège, HEC-Ecole de Gestion de l’ULg.
Ce samedi, cette intégration a gravi un échelon supplémentaire: la fusion de l’association des anciens de HEC et de l’association des anciens de l’EAA en une seule organisation. Cette union fut suivie d’une soirée convivale et sympathique rassemblant les anciens des deux ex-institutions où tout le monde fut réuni.

Cette soirée, comme la fusion des associations qui l’a précédée, sont pour moi un signe clair de la réussite du lancement de la nouvelle Ecole et je m’en réjouis. Le succès se manifeste par ailleurs par le nombre de nouveaux inscrits à l’Ecole, qui équivaut au moins aujourd’hui à la somme des étudiants de HEC et du département des Sciences de Gestion de l’ULg en 2004-2005.

Clairement annoncé en bonne place parmi les grands chantiers qui nous attendent se trouvent les négociations avec les Hautes Ecoles, et en particulier l’aboutissement du grand projet du Pôle Mosan. Il s’agit d’un projet ambitieux, qui tend à regrouper tous les établissements d’enseignement supérieur dans une large zone s’étendant sur les provinces de Liège, du Luxembourg et, pour partie, de Namur, par delà les clivages qui les séparent.
Il ne s’agit nullement de fondre les enseignements supérieurs en une rationalisation des filières qui serait néfaste tant aux Hautes Ecoles qu’aux Universités du Pôle.
Les grands principes sont: sauvegarde des spécificités utiles, regroupement des doublons vrais, mise en commun de la charge administrative, des infrastructures et d’un certain nombre de ressources (documentaires, informatiques, etc) lorsque c’est possible, et surtout recherche des possibilités de réorientation des étudiants d’un système vers l’autre, dans les deux sens, en cours d’études si nécessaire.

Ce grand projet s’est créé, le premier de cette ampleur en Communauté française de Belgique, il y a quelques années déjà, mais il n’a que partiellement abouti, l’adhésion de plusieurs Hautes Ecoles n’étant pas acquise. Ce ralentissement est apparemment dû à la frilosité de certains pouvoirs organisateurs face à ce qu’ils considèrent comme un danger de voir leurs établissements “phagocytés”, donc absorbés par l’Université, de perdre leur spécificité, de prendre des risques quant aux statuts des enseignants et de l’ensemble du personnel, sans parler d’une perte d’autonomie ou de la disparition d’écoles à juste titre réputées… Du côté des Universités, on partage parfois ces craintes et on a surtout celle de voir une telle association niveler vers le bas la qualité de la formation.

Je pense qu’il n’en est rien, si l’on veille attentivement à créer un ensemble associatif et à rassurer chacun en affirmant qu’il n’existe, dans ce projet, aucune velléité de fusion ou d’absorption si ce n’est pas là clairement la demande des institutions (certaines le souhaitant par ailleurs). Il s’agit plutôt d’un vaste ensemble, une sorte de “coupole” constituant un grand pôle de formations dans lequel l’étudiant trouvera ce qu’il souhaite ainsi que toutes les facilités pour s’orienter facilement et avancer à sa guise en fonction de ses aspirations et de ses capacités, seul moyen de donner aux jeunes de réelles opportunités de trouver des motivations profondes pour leurs études. Car c’est là l’essentiel: élargir l’éventail des ressources de formation à la disposition des jeunes, sans qu’ils doivent faire des choix définitifs préalables en devant aller pêcher de nombreux côtés les informations qui parfois restent incomplètes. Sans parler des réorientations qui, aujourd’hui, suivent inévitablement l’échec au lieu de le devancer et le prévenir.

C’est dans un grand ensemble coordonné que l’on trouvera les ressources et la souplesse nécessaires pour mieux définir le parcours des étudiants, éviter l’engorgement de filières qui sont souvent attractives par défaut lorsque la pression sociale (parents, entourage) pousse les jeunes à choisir une voie qui ne leur convient nullement et qui leur réserve échecs et désillusions. L’élargissement du Pôle Mosan aux formations artistiques et culturelles est précisément dans cette logique.

Certes, on peut voir l’Université comme le lieu de formations très ardues, très pointues et élitistes, au bon sens du terme, d’autres écoles se chargeant de ceux qui ne peuvent ou croient ne pouvoir se permettre l’effort de s’y frotter.
On peut aussi la concevoir comme un ensemble très vaste d’enseignement plus à la carte, mieux adapté.
Les deux options existent de par le monde.
Notre vision est une combinaison de ces deux options, où l’Université garde ses spécificités et ses exigences mais où sa collaboration avec les Hautes Ecoles lui permet de faire partie d’un ensemble plus large (un Pôle, comme pour l’association en grand ensembles interactifs d’universités et d’entreprises) où coexistent, en bonne entente, de nombreuses filières de formations qui ont toutes leur raison d’être et leur dignité, qui se complémentent à merveille et offrent aux étudiants des variantes de parcours bien organisées. Voilà, à mon sens, l’objectif que doit se réattribuer le Pôle Mosan, afin de profiter au mieux de l’avance qu’il possède et des atouts immenses qu’il recèle.

Suite à la publication du communiqué de presse sur l’ULg et l’UCL dans le Luxembourg, les journaux de la Province ont relayé l’information en première page. Depuis lors, j’ai eu l’occasion de donner des compléments d’explication vendredi lors du Comité stratégique du Département de Sciences et Gestion de l’Environnement sur le site de l’ULg à Arlon (ex-FUL) en présence des forces vives luxembourgeoises qui composent ce Comité. Je reviendrai plus en détail sur ce sujet lors d’une conférence-débat à laquelle je suis invité ce lundi en début de soirée à la Maison de la Culture d’Arlon, et qui sera organisée par la Haute Ecole Robert Schuman.
L’idée est bien d’entamer des discussions à quatre (ULg-Schuman; UCL-Pascal) et d’examiner les liens privilégiés que ce deux binômes peuvent établir entre eux, pour ensuite tenter de voir si des rapprochements des deux Hautes Ecoles, sous le “parrainage” des deux universités, sont envisageables et dans quelles conditions.
On peut donc considérer que les travaux entrepris se font en deux temps: les négociations entre l’ULg et Schuman étant déjà commencées et s’avérant très prometteuses dans plusieurs domaines, le colloque à quatre, lui, devant suivre bientôt.

Voici pour vous en primeur un communiqué de presse commun de l’Université de Liège et de l’Université Catholique de Louvain concernant l’enseignement supérieur en Province de Luxembourg.

Les recteurs de l’ULg et de l’UCL ont convenu de s’associer dans un projet innovateur de développement de l’enseignement supérieur dans la Province de Luxembourg. La réflexion sera menée en concertation avec tous les acteurs concernés, les pouvoirs organisateurs des Hautes Ecoles, les « forces vives » luxembourgeoises et les autorités de tutelle, afin de pérenniser dans la province un pôle d’enseignement supérieur de qualité, coordonné et attractif au sein de la Grande Région.

Les liens privilégiés de l’UCL avec la HE Blaise Pascal et de l’ULg avec la HE Robert Schuman offrent une base solide pour entamer cette réflexion commune, et font des deux universités – qui développent déjà dans la région des activités de recherche, d’enseignement et de services à la communauté – les partenaires stratégiques du développement de l’enseignement supérieur dans la Province de Luxembourg.

Un comité de pilotage, réunissant tous les partenaires concernés, va être mis en place à l’initiative des recteurs.

Bernard RENTIER
Recteur de l’ULg

Bernard COULIE
Recteur de l’UCL

Quelques nouvelles du premier Conseil d’Administration dans sa nouvelle formule (mais malheureusement en l’absence des représentants du monde extérieur, qui doivent encore être désignés par la Ministre de l’Enseignement Supérieur), indépendamment du compte-rendu qui sera diffusé par Intranet dès que possible.

Le Conseil a désigné sur proposition du Recteur-Président, un Collège rectoral, composé de Conseillers.
- à l’enseignement, la formation et la vie étudiante: Mme le Professeur Jacqueline BECKERS (FaPSE);
- à la Recherche: M. le Professeur Pierre WOLPER (FSA);
- aux relations internationales: M. le Professeur Jean MARCHAL (FSA);
- au budget: M. le Professeur Bernard JURION (HEC-EG);
- à l’éthique, la culture et l’image institutionnelle: M. le Professeur Edouard DELRUELLE (FPL);
- à l’architecture et à l’urbanisme: M. le Professeur Jean-Claude CORNESSE (FSA);
- à la santé et aux affaires hospitalières: M. le Professeur Jean-Olivier DEFRAIGNE (FM).

Le C.A. a approuvé la création d’une nouvelle fonction dans l’Institution: celle de Directeur-Général de l’Enseignement et de la Formation et la nomination de Mme Monique MARCOURT-DEFRESNE dans cette fonction.

Il a défini également les missions de l’Administrateur et du Directeur-Général.

Le C.A. a approuvé la création de Départements administratifs regroupant des administrations diverses et précisé la composition de certaines de ses commissions permanentes (détails dans le communiqué Intranet).

Il a prolongé les conditions appliquées aux étudiants en termes de minerval en 2004-2005 pour l’année 2005-2006 selon le vœu des représentants des étudiants et en raison des conditions appliquées dans d’autres institutions. Une solution définitive devra être trouvée au Conseil des Recteurs durant cette année académique, pour l’application en 2006-2007.

Toutes les décisions proposées à cette séance ont donc été approuvées moyennant quelques modifications de détail et j’en suis très heureux.
Je ne promets pas d’écrire un commentaire comme celui-ci après chaque Conseil, mais cette réunion était particulièrement importante et fondatrice et je souhaitais vous informer personnellement des désignations de ce jour.

Ce lundi 3 octobre 2005, j’ai souhaité réunir le premier Conseil d’Administration dans sa nouvelle formule. Cette rapidité est à la fois symbolique et pragmatique. Il m’a en effet semblé important de rendre immédiatement opérationnelles la nouvelle équipe rectorale et les nouvelles structures administratives de l’Institution.

Un compte-rendu sera diffusé en Intranet dès que possible et comme nous en avons déjà l’habitude. Ce compte-rendu sera un peu plus complet que par le passé et un peu plus motivé. Je ne manquerai pas d’en donner des précisions dans ce blog.

L’ordre du jour de ce Conseil prévoit la désignation par le C.A., sur proposition du Recteur-Président, d’un Collège rectoral, composé de Conseillers choisis parmi les membres du corps académique de l’Institution.
Les Conseillers seront réunis par le Recteur en vue de discuter des différents sujets concernant l’Université et consultés par lui sur des matières plus spécifiques. Il seront au nombre de 7 et chargés de:
- l’enseignement, la formation et la vie étudiante;
- la Recherche;
- les relations internationales;
- le budget;
- l’éthique, la culture et l’image institutionnelle;
- l’architecture et l’urbanisme;
- la santé et les affaires hospitalières.

Ils auront un pouvoir d’avis mais ne détiendront aucun pouvoir de décision.
Afin de ne pas préjuger des décisions du C.A., je ne donnerai ici aucun nom avant que le Conseil ne se soit prononcé.

Le C.A. du 3 octobre examinera la proposition rectorale de création d’une nouvelle fonction dans l’Institution: celle de Directeur-Général de l’Enseignement et de la Formation, un domaine qui est du ressort direct du Recteur et qui nécessite une coordination efficace, en raison de l’accroissement du nombre d’étudiants, des fusions et associations avec d’autres institutions, du lancement à l’ULg d’un vaste programme de formations permanentes, de la mise en place des réformes du processus de Bologne, etc.

Il définira également les missions spécifiques ainsi que certaines missions conjointes pour l’Administrateur et le Directeur-Général.

Il procédera à la restructuration de l’organisation de l’Administration Centrale sous la forme de Départements regroupant diverses entités administratives de manière plus opérationnelle.

Il précisera la présidence et la composition de certaines de ses commissions permanentes.

Ce Conseil constituera une entrée en matière importante pour ses nouveaux membres et pour toute l’institution, instituant d’emblée un nouveau mode de fonctionnement et une nouvelle organisation générale au plan administratif. Il mettra en place, suivi par le Conseil du 19, la plus grande réforme du système administratif de l’Institution depuis les profonds changements de 1971 qui virent notamment la création du C.A. lui-même.

Dès le premier jour de mon entrée en fonction, je souhaite inaugurer une nouvelle manière de communiquer avec la communauté universitaire tout entière. Il s’agit ici d’un blog, donc d’une communication directe, avec ses avantages et ses inconvénients.
Les avantages: un dialogue interactif avec tous ceux qui le souhaitent, une grande franchise et une information en temps réel, ou presque.
Les inconvénients: une fréquence d’intervention à maintenir, une rapidité de réponse à respecter, des propos qui n’engagent que moi, et non les instances officielles de l’Institution.
J’envisage ce blog comme un moyen d’informer rapidement et de répondre à des demandes d’éclaircissements sur les problèmes qui concernent spécifiquement l’Université. J’ignore si j’aurai la possibilité d’assurer un fonctionnement optimal de cet outil, l’usage nous le dira. Je tâcherai en tout cas d’alimenter ce site régulièrement et j’espère que vous ferez preuve de compréhension si le rythme des dépôts laisse parfois à désirer…
J’espère que vous serez également indulgents quant aux coquilles et fautes de frappe qui ne manqueront pas d’émailler mes textes, malgré mes efforts d’attention !

Il est simple, pour tout lecteur, d’envoyer un commentaire. Je me réserve toutefois l’exclusivité de la publication des interventions que je recevrai ainsi que de mes réponses. Je tiens cependant à préciser que ma sélection aura pour seul but de préserver la décence, la réserve et la tenue des propos échangés. Je compte, pour le reste, laisser libre cours à ma réflexion ainsi qu’à celle de mes correspondants et m’exprimer ici avec la plus grande franchise et la plus grande transparence.

Ce blog succède à celui que j’avais lancé en janvier dernier sur un site web externe: http://bernardrentier.blogspot.com/
Il est la copie (presque) conforme du blog que j’ai créé sur l’Intranet de l’ULg et qui est réservé aux membres de la communauté universitaire, qui ont tous un accès libre aux zones réservées de l’Intranet. Le blog Intranet est un peu plus complet que celui-ci. En effet, il traite également de problèmes plus spécifiques à l’ULg qui ne concernent que ses membres. Si vous êtes de ceux-ci, reportez-vous plutôt à l’autre blog, sur http://recteur.intranet.ulg.ac.be.

Un blog ne remplace pas les communications officielles que je diffuserai par des canaux plus traditionnels, mais il conservera une tournure moins officielle, plus conviviale, plus personnelle, plus prospective également.

La condition d’une expression libre de ma part, livrant à tous mes impressions ou aspirations du moment, est que je ne devrai en aucun cas me sentir lié par le contenu comme par un procès-verbal officiel. J’espère que chacun pourra comprendre l’intérêt, les avantages et les limitations de ce moyen très libre de diffusion d’informations.

Je vous en souhaite bonne lecture.

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