Nouveaux commentaires pour le billet du 25 février: « Archivage institutionnel et vitrine bibliographique ».

A lire également, sur le même sujet: On « Open Access » Publishers Who Oppose Open Access Self-Archiving Mandates. En résumé: « L’âge de l’internet a apporté beaucoup à la recherche, mais crée inévitablement un conflit entre les intérêts de l’industrie de l’édition de journaux de recherche et les chercheurs, les universités, les centres de recherche, les bailleurs de fonds de la recherche, la R&D industrielle, et les contribuables. L’Open Access est incontestablement un immense atout, que ce soit la publication en OA, ou l’auto-archivage en OA. On doit s’attendre à une résistance de la part des éditeurs qui ne pratiquent pas l’OA. Mais ce qui est particulièrement décevant et déplorable, est que des éditeurs qui pratiquent l’OA s’opposent à l’auto-archivage en OA. »

A noter, par ailleurs, que sur Cordis, dans le programme de l’Information Event On The First Calls For Proposals Under The E-Infrastructures Activity Of The ‘Capacities’ Specific Programme, FP7 qui a eu lieu en février, il est spécifié que l’Europe finance des projets dans le domaine des « Scientific Digital Repositories » et du « Deployment of e-Infrastructures for scientific communities ».