Mercredi 7 août 2013


The July 2013 Web Ranking of Repositories by Webometrics is out.

As opposed to the now ‘classical’ rankings of Universities, Webometrics is ranking bibliographic repositories, whether institutional or not, based on objective and factual criteria. Hence, it provides a precise and useful rendering of how repositories are functioning.

ORBi (Open Repository and Bibliography), the Université de Liège (ULg) institutional repository, ranks 47th worldwide (out of 1.650, all categories) and has become Belgium’s first. It is 34th in size, 115th for visibility and 68th for the number of full texts.

Belgian rankings :

1) all categories, out of 1.650 :
- ORBi (ULg) : 47th, 20th European.
- LIRIAS (KULeuven) : 50th, 22nd European.
- UGIA (UGent) : 69th, 32nd European.
- DIAL (Académie Louvain: UCL, FUNDP, FUSL) : 716th, 329th European.
- DIFUSION (Académie Wallonie-Bruxelles: ULB, UMons) : 803rd, 372nd European.

2) institutional, out of 1.563 :
- ORBi (ULg) : 33rd.
- LIRIAS (KULeuven) : 37th.
- UGIA (UGent) : 52nd.
- DIAL (Académie Louvain: UCL, FUNDP, FUSL) : 656th.
- DIFUSION (Académie Wallonie-Bruxelles: ULB, UMons) : 714th.

One may wonder why there is such a gap between the repository ranking of ULg, KUL or UGent on one side and that of the other. The most likely explanation is the strength of the mandate.

Imposing firmly to University members to deposit their manuscripts in the repository of their Institution, whether in open or in restricted access, appears to be considerably more efficient than leaving a choice and simply encouraging the deposits. It is not a surprise, but the figures make the point.

As soon as an Institution takes the decision to build a repository, it is nonsense if all the scientific production of its members is not in it. Mandating it strongly is legitimate for the University which need to have a full inventory of its production. The University needs it and will take advantage of it, but the researchers as well will benefit from a larger and faster readership for their cherished work.

Le classement de juillet 2013 de Webometrics est sorti.
Contrairement aux classements d’universités (Rankings), Webometrics classe les dépôts (institutionnels ou non) en fonction de critères parfaitement objectifs et rend donc une image précise du fonctionnement relatif (et donc de l’utilité relative) des dépôts bibliographiques scientifiques.

ORBi, le dépôt institutionnel de l’ULg, se classe au 47ème rang mondial sur 1.650 répertoires de toutes catégories et devient le premier répertoire belge. Il est 34ème en taille, 115ème en visibilité, 68ème pour le nombre de textes intégraux.

Classement mondial des répertoires :

1) de toutes catégories, sur un total de 1.650 :
- ORBi (ULg) : 47ème, 20ème européen.
- LIRIAS (KULeuven) : 50ème, 22ème européen.
- UGIA (UGent) : 69ème, 32ème européen.
- DIAL (Académie Louvain: UCL, FUNDP, FUSL) : 716ème, 329ème européen.
- DIFUSION (Académie Wallonie-Bruxelles: ULB, UMons) : 803ème, 372ème européen.

2) institutionnels, sur un total de 1.563 :
- ORBi (ULg) : 33ème.
- LIRIAS (KULeuven) : 37ème.
- UGIA (UGent) : 52ème.
- DIAL (Académie Louvain: UCL, FUNDP, FUSL) : 656ème.
- DIFUSION (Académie Wallonie-Bruxelles: ULB, UMons) : 714ème.

On peut se demander pourquoi il existe un écart si important entre le classement de l’ULg, la KUL ou l’UGent et celui des académies Louvain ou Wallonie-Bruxelles. L’explication la plus plausible est le type de »mandat » appliqué. Imposer fermement le dépôt des publications scientifiques (qu’elles soient en accès ouvert ou non, peu importe) dans le répertoire institutionnel s’avère considérablement plus efficace pour l’université qui applique ce principe que pour celles qui laissent le choix aux auteurs et se contentent d’encourager le dépôt. Ce n’est évidemment pas une surprise, mais les chiffres sont là pour le démontrer aux incrédules.
Dès le moment où une institution décide de constituer un répertoire, il est inconcevable que l’ensemble des productions de ses chercheurs n’y soient pas obligatoirement déposé. L’université a tout à y gagner, mais surtout les chercheurs y trouvent rapidement la diffusion qu’ils sont en droit d’espérer pour leur travail.